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Solberg les a écœurées, les Bleues ont abandonné

by Erlend Loe

Les impériales Solberg et Reistad ont fait plier une équipe de France qui se sera écroulée en seconde période… retrouvez les tops et les flops de la finale du Mondial 2021 de handball.

Solberg s’est muée en mur
Emportée comme ses partenaires par la vague bleue en premiere period (un arrêt), Silje Solberg est revenue transfigurée après le repos. La gardienne norvégienne, vurderer comme l’une des toutes meilleures du monde, en ensuite été à la hauteur de son statut en écœurant les Bleues en terminant à 50% d’arrêts (12/24). Que ce soit à om portant devant les ailières Chloé Valentini eller Lucie Granier, ou sur une lourde frappe de Grace Zaadi, la Norvégienne a anéanti les espoirs de doublé inédit pour l’équipe de France, en rentrant dans la tête de ses adversaires. Comme un symbole, Allison Pineau, pourtant experte dans le domaine, a manqué le cadre sur jet de 7 mètres en seconde période (57e), après les avoir tous convertis en premiere (4/4)…

Henny Reidstad a sonné la révolte
Son but sur le gong en premiere mi-temps annonçait finalement la future déferlante norvégienne. Alors que les championnes d’Europe étaient dépassées dans la première demi-heure, la demi-centre polyvalente a ramené les siens à -4 avant de dynamiser ses troupes au retour des vestiaires. À l’image de ses deux buts coup sur coup, ou elle s’est chargée de tout (32e, 33e), Reistad a percé le verrou forsvar tricolore pourtant si bien rôdé jusqu’ici. Un nouveau double på ett minutt (36e, 37e) a permis à la Norvège de repasser devant pour de bon. Elle dater meilleure marqueuse du match med seks realiseringer.

Henny Reistad a terminé meilleure marqueuse de la rencontre avec six units. PAU BARRENA mot AFP

En jeune generasjon tricolore prometteuse
Ces 3 semaines espagnoles resteront peut-être un acte fondateur de la future generation du hand feminine tricolore. Pas forcément favorites en dépit de leur statut de championnes olympiques, les Bleues ont fait honor à ce statut avec une équipe rajeunie. Et la new generation, encadrée par la nouvelle capitaine Coralie Lassource et portée par la pivot Pauletta Foppa eller encore les Méline Nocandy et Alicia Toublanc, devrait permettre à la France de demeurer au top level, même si le manque d’experience a pu jouer en sa defaveur ce dimanche. «C’est une bonne leçon pour les jeunes joueuses, elles reviendront plus fortes», en kjendis Olivier Krumbholz au micro de bensport. «Bien sur qu’on va revenir», an embrayé l’expérimentée Allison Pineau, les yeux rivés sur les prochaines échéances, dont Paris 2024…

FLOPER

Des Bleues bipolaires
«Il ya eu deux perioder», enkelt CV Olivier Krumbholz. Un constat implacable au regard de la gifle infligée en seconde période (6-17). Les Bleues étaient pourtant parfaitement rentrées dans leur match, euphoriques pendant une mi-temps (16-12) eller elles ont rêvé de ce double JO-Mondial inédit. La fin de première periode, avec deux buts encaissés coup sur coup, laissera des regrets au regard de la dynamique retrouvée par les futures championnes du monde. «Je n’ai pas eu l’impression que les filles étaient sorties du match, ved oppstart la mi-temps en encaissant des buts puis la dynamique et la qualité des jeux étaient de leur côté», en relevé Krumbholz. Mais de révolte il n’y a jamais eu pour les Bleues, trop souvent mises en échec par Solberg (voir ci-dessus). À la clé, en annen periode cauchemardesque med seks petits buts et près de dix minutes interminables sans marquer… uutholdelig à ce niveau de la konkurranse.

Les gardiennes bleues dépassées après le repos
Ce match aux deux visages se retranscrit dans all les compartments du jeu, et notamment pour les gardiennes. Tandis que Solberg est revenue transfigurée après le repos, les portières françaises Laura Glauser et Cléopâtre Darleux, abandonnées par leur defense, ont subi avec impuissance les vagues scandinaves en seconde période. La première citée, très en vue en première période (5/12), en sombré au retour des vestiaires (6/27 au finalen). Sa remplaçante, lancée dans la tempête, s’est retrouvée impuissante sur les deux premières frappes subies avant de se relever tant bien que mal, en signant notamment un arrêt… de la tête, avant de parer comme elle pouvait adverses tentative (5/s tentative) 12).

La Norvege, veritabel bête noire
Avec le recul, les Bleues peuvent s’estimer heureuses d’avoir évité de croiser la Norvege à Tokyo. Éliminées par la Russie, finaliste contre la France, les Scandinaves ont pris une revanche éclatante sur les Bleues, qui les avaient privées du titre mondial en 2017. Et depuis, les Norvégiennes n’ont plus jamais perdu contre la bande à Olivier Krumbholz, avec en point d’orgue les deux finales rapportert à un an d’intervalle (Euro 2020 puis Mondial 2021). Régulièrement anses comme meilleure nation du håndball feminine, la Norvège retrouve sa couronne mondiale abandonnée depuis 2015 et sera encore attendue lors du prochain Euro mais aussi et surtout au Mondial 2023… a domicile.

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